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Faut-il se sentir coupable de vouloir mieux quand on est déjà bien ? (évolution professionnelle)

  • Photo du rédacteur: Roselise MESSE OVONO
    Roselise MESSE OVONO
  • 29 nov.
  • 1 min de lecture

(évolution professionnelle)
(évolution professionnelle)

De nombreuses personnes hésitent à envisager une évolution ou une reconversion, non pas par manque de compétences ou de motivation, mais par culpabilité.


Elles se disent : «J’ai déjà une situation stable, je ne devrais pas me plaindre. »


Pourtant, la stabilité n’est pas toujours synonyme d’épanouissement.

On peut apprécier sa vie personnelle, être reconnaissante de ce que l’on a construit, tout en ressentant que professionnellement, quelque chose manque : le sens, la stimulation, l’alignement, l’élan.


Ce sentiment n'est pas un caprice. C’est un signal intérieur.


Pourquoi ce sentiment émerge ?

Parce que nous évoluons. Nos besoins changent. Nos aspirations se précisent.

Ce qui suffisait hier ne suffit peut-être plus aujourd’hui et c’est OK.


Ce que cela signifie

Vouloir mieux n’est pas renier ce que l’on a. C’est honorer ce que l’on devient.

Ce n’est pas de l'ingratitude, c'est un signe de croissance, un signe d'évolution professionnelle.


Tu peux être reconnaissant(e) et ambitieux(se). Épanoui(e) et en mouvement. Paisible et en transformation.


Tu as le droit de vouloir une carrière qui te ressemble vraiment. Sans justification. Sans excuse. Sans culpabilité.

 
 
 

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